Dans cet ouvrage, 50 recettes incontournables de la cuisine coréenne, comme le fameux bibimbap, le kimchi, les raviolis vapeur (mandu)...
Le mot d'ordre de ce livre : apprendre à cuisiner coréen facilement, tout en découvrant les ingrédients phares de cette cuisine gourmande et colorée !
Au coeur de Kyoto, vivez aux côtés de femmes dont le quotidien est synonyme d'extraordinaire. Loin des clichés et des fantasmes, quelle est donc la vie d'une maiko, apprentie geisha (ou plutôt geiko, comme on dit à Kyoto) de nos jours ? Entre apprentissage rigoureux, horaires stricts, usages séculaires et maîtrise constante de son image... comment les artistes en devenir passent-elles leurs moments de détente ? Qu'est-ce qui les motive à choisir cette voie exigeante ? Autant de questions auxqelles la Aiko Koyama s'emploie à répondre, au travers de personnages aussi attachants que fascinants.
Un manga tout public et tout en couleur consacré au plus sympathique de tous les chiens : le shiba ! Le shiba est vraiment un drôle de chien... On a coutume de dire de lui qu'il est un quart chien, un quart homme, un quart chat et un dernier quart singe .Momo est une shiba croisée au caractère vif et entier, toujours prête à faire des bêtises, à partir en vadrouille, mais aussi à consoler sa maîtresse...C'est surtout une source quotidienne d'amusement, comme le montre ce récit qui fera fondre le coeur des amoureux des chiens !
Sont pas bien méchants, nos petits gars. Pas bien mauvais non plus. Mais sont parfois un peu turbulents, chiens fous évoluant l'écume aux crocs, poulains en roue libre dans le pré. Trafiquent un peu dans la drogue récréative et la ferraille, volent petit, revendent à peine plus gros, se vident la tête en boîte de nuit, se remplissent le sang de gin, font le grand huit en agglomération et décapitent au passage une mère de famille qui tentait de dissoudre sa graisse post-partum en trottinant en jogging. Dans le petit matin d'un dimanche de mai. Deux jours avant, elle avait demandé à son coiffeur de lui faire des mèches ambre sur cuivre. Un scalp blond et jaune dégrafé par le capot d'une Peugeot 205 turquoise avec des jantes 19 pouces.
Lorsque Shintani surprend Kikuchi à voler de l'argent au casino où ils travaillent, il ne s'attend pas à ce que les choses dégénèrent autant. Incapable de le dénoncer, il finit lui aussi dans la liste des complices et doit affronter la vengeance de Sudô, la ""femme"" du propriétaire mafieux de l'établissement. Mais Sudô est étrangement magnanime à son égard , en revanche, il réclame à Kikuchi une somme d'argent exorbitante. Shintani, qui a recueilli le garçon, est témoin de sa descente aux enfers : du vol à la prostitution, il sent bien que cette dette va lui être fatale. Shintani décide alors de négocier avec Sudô la liberté de Kikuchi. Mais saura-t-il payer le prix de sa compassion ?Sombrez avec Shintani sous l'impitoyable joug de son supérieur, et trouvez le réconfort auprès d'un chien errant que la chance a abandonné...
Pour rembourser une dette contractée auprès de yakuzas, Kikuchi pense être prêt à tout. Même à tuer, si cela peut alléger le fardeau qu'il a mis sur les épaules de Shintani, son sauveur. En effet, voulant l'aider, Shintani l'héberge et a conclu un marché secret avec Sudô, l'amant du chef des yakuzas : pour une somme conséquente, il est devenu son " petit-ami ". Mais Kikuchi a terminé de rembourser sa dette en échange d'une dangereuse mission : tuer le vieillard à la tête de l'organisation mafieuse. Alors que Shintani croit qu'ils sont enfin libérés de leurs créanciers, Sudô continue de le harceler et la date fatidique se rapproche pour Kikuchi...
Pour avoir triché au jeu, Kikuchi a une dette envers des yakuzas. Menacé de toutes parts, il se prostitue à un homme qui aime le torturer. Mais le garçon a aussi entraîné son camarade, Shintani, dans le même piège. Partageant sa peine et voulant l'aider, celui-ci l'héberge et conclut un marché avec Sudô, l'amant du chef des yakuzas : pour rembourser leur dette, Shintani accepte d'être son " petit-ami ".Dans ce chassé-croisé de malheurs et de violence, Kikuchi pourra-t-il s'extirper des griffes de son tourmenteur ? Shintani, par sa gentillesse, saura-t-il guérir les blessures enfouies de ces deux jeunes gens dont il ignore encore tout ?
50 recettes originales et faciles à réaliser à base de produits bien-être facilement accessibles et bien expliqués. Avec l'apport d'une diététicienne.
Elevée par sa bonne Fumi-san, Ayako a vécu une enfance heureuse. Désormais adolescente, la jeune fille cherche un sens à sa vie dans un Tokyo fragilisé par la violence de la guerre et l'occupation américaine. Ayako souhaite étudier et travailler, mais ses parents conservateurs s'y oppposent. Au fil du temps, elle s'affaiblit ; c'est un motchi préparé par Fumi-san, qu'elle a rejoint à la campagne, qui va l'aider à s'appaiser et à se ressourcer avant de rejoindre Tokyo.
On a longtemps cloisonné le vivant en des règnes mutuellement exclusifs, pensant séparément le monde « des humains » et « du végétal ». Pourtant, partout sur la planète, des collectifs humains recrutent plantes, arbres, mousses ou fleurs et leur font jouer des rôles de grande ampleur : ils s'en inspirent de différentes manières, écoutent leurs rythmes propres et entrent en relation avec eux. Dix-huit chercheurs francophones livrent leurs réflexions et décrivent des mondes singuliers qui permettent de repenser nos liens au vivant végétal, et de prendre la mesure des défis épistémologiques auxquels ces liens nous confrontent.
On a longtemps cloisonné le vivant en des règnes mutuellement exclusifs, pensant séparément le monde « des humains » et « du végétal ». Pourtant, partout sur la planète, des collectifs humains recrutent plantes, arbres, mousses ou fleurs et leur font jouer des rôles de grande ampleur : ils s'en inspirent de différentes manières, écoutent leurs rythmes propres et entrent en relation avec eux. Dix-huit chercheurs francophones livrent leurs réflexions et décrivent des mondes singuliers qui permettent de repenser nos liens au vivant végétal, et de prendre la mesure des défis épistémologiques auxquels ces liens nous confrontent.
L'auteur examine les grands équilibres de l'économie ivoirienne et cerne la précarité des recettes extérieures indispensables au développement, recettes essentiellement générées par le café et le cacao. Avec une justesse résultant d'une expérience de terrain, l'auteur traduit la démarche de la Côte d'Ivoire dans la défense de ses intérêts vitaux dans le contexte du marché international de formation des prix, il revendique la nécessité d'un minimum de protection pour les producteurs.
En quelques minutes et à deux cents mètres de sa maison, au détour d'une rue qu'une couronne de pins éteint en cul-de-sac, dans le soir qui était déjà au ras de la nuit et cette nuit-là était la plus froide de janvier, Lola a disparu.
Un jour, Satoko croise des touristes japonaises. Rencontrer ses compatriotes lui donne une vive et soudaine envie de raconter sa vie et cela la ramène 50 ans en arrière. Jeune fille, dans un Tokyo d'après-guerre, elle ne rêve que de venir à Paris et d'étudier la littérature française. Il lui faudra dix ans pour réaliser son rêve. Satoko raconte sa vie d'étudiante, ses expériences, ses doutes, la solitude, l'hiver sombre et froid du continent, mais aussi ses joies, ses rencontres, la beauté de la ville et surtout son amour inconditionnel pour Paris.
De 1910 (date de sa création) au début des années 90, l'Afrique du Sud a institutionnalisé la discrimination raciale et adopté l'Apartheid comme ligne politique de gouvernement grâce à laquelle toute la vie politique, économique et administrative du pays était monopolisée par la minorité blanche au détriment de la majorité noire. Ce livre documenté fait la genèse et fixe les grandes étapes de ce processus historique.
In 1945 Tokyo, during the American Occupation, Ayako, a teenager, wanders on a huge black market among a starving crowd. In a country destroyed by bombing, ruined by a long war and where no landmarks are left, she tries to find an aim in her life. She wants to study and find a job. But her conservative parents are opposed to it. She suffocates. She then remembers her happy childhood, in the shade of the war, with good Fumisan who had become her confidante. From disappointing casual jobs to strange encounters, she becomes weaker and weaker. So she goes to see Fumisan in the countryside where she now lives. When Ayako eats a mochi that Fumisan has made, she can finally feel that the war is over and that peace is back. She regains her strength and goes back to Tokyo... (language of the book : japanese).